En commission des affaires économiques, lors de l’examen de la proposition de loi visant à protéger les logements contre l’occupation illicite, je questionne le contenu du projet de loi qui se veut humaniste tout en niant frontalement un droit reconnu par la Déclaration des droits de l’Homme, celui du droit au logement. J’interroge le choix d’un axe favorisant les propriétaires et ne cherchant pas à remettre en question le potentiel manque de logement en France qui provoque en partie l’occupation illégale par certains.
Le droit au logement reconnu par la DDE est menacé.
PARTAGER CET ARTICLE